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Témoignages 
Sculpteur

“Ce qui attire mon attention dans l’oeuvre de Paul Vaussane, c’est le renoncement à utiliser les ressources traditionnelles du peintre – la couleur, la lumière, la composition, le mouvement. A la fin du travail – des heures consacrées sans compter à la mise en œuvre d’une technique proprement artisanale – le résultat est une surface apparemment plane et géométrique”.

“Géométrique, mais animée d’infinies variations. Plane, mais visitée, reconnue, parcourue, encore et encore, par le peintre puis le collectionneur. Surface, mais avec plusieurs niveaux, plusieurs textures, qui nous parlent de ruptures et de continuités. Ce travail paraît en fin de compte plus musical que plastique, parce qu’il tente de fixé un motif peu traité en peinture : l’immobilité”.

“Essayer de parcourir un labyrinthe de Paul Vaussane, c’est s’embarquer pour un voyage au pays de la saturation. Le spectateur se “perd”, parce qu’il ne se rend même pas compte qu’il n’y a pas lieu de se perdre : tous ces labyrinthes mènent d’un début (au bord) à une fin (au centre), comme les labyrinthes de marbre qui ornent le sol de nombreuses cathédrales françaises du Moyen Age, symboles du comportement chrétien correct : le chemin juste est unique, mais il est difficile ; plein de détours inattendus, mais menant au but”.

“Ce n’est pas à dire que les labyrinthes de Paul Vaussane s’épuisent en un message mystique ou dans la symbologie vulgaire d’une existence difficile. Il s’agit seulement d’objets plastiques qui cherchent à communiquer des émotions, tout en évitant les sentimentalismes”.

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Journaliste

“Comme archétype, le labyrinthe accompagne l’homme depuis des milliers d’années, peut-être parce que la complexité de son tracé nous enseigne à reconnaître ces mondes obscurs qui nous habitent ou que nous ne connaissons que dans le rêve. Les formes, dirait Platon, existent avant nous.”Paul Vaussane n’a su qu’il construisait des labyrinthes que quand ses amis ont ainsi baptisé ses œuvres. Il ne soutient pas une thèse, mais, de façon simple et patiente – il parle d’obstination plus que de patience – il reproduit des formes originelles – labyrinthiques et géométriques – pour les présenter devant nous, transformées par la couleur et la texture”.

“C’est un artiste artisan. Dans son atelier du centre-ville, il nous apparaît plutôt comme un vigoureux ouvrier, appliqué à l’exercice d’une discipline, que comme un démiurge à l’affût de l’inspiration. Comme celles de Rodko et Pollock – deux de ses artistes favoris – son œuvre est expérimentale”.

[/vc_column_text][/vc_tta_section][vc_tta_section title=”Andrea Castillo” tab_id=”1489952415969-5a1b1f9e-ce1a”][vc_column_text]

Architecte

“Je ne pourrais pas définir exactement si l’œuvre de Paul Vaussane est de la peinture ou de la sculpture, ou ni l’un ni l’autre. Je préfèrerais les appeler “ensembles ” “.

“Ensembles qui constituent un réseau tensionnel, fondé sur des contigüités visuelles, où le langage géométrique marque l’ordre, formant un complexe d’espaces visuellement interconnectés au moyen de vides, et tensionnellement organisés en formes”.

[/vc_column_text][/vc_tta_section][vc_tta_section title=”Luca Bray” tab_id=”1489952414643-31e4bb42-f041″][vc_column_text]

“D’en haut”, le réalité est différente. Ce qui était connu se diffuse, tandis que l’étrange et l’étranger respirent des airs de plus en plus transparents. Des champs cultivés se fondent avec la naissance des hauteurs, tandis des corps aquatiques soulignent de leurs éclats les contours d’une vérité distante. Leurs individualités, généreusement engagées, troquent leurs paroles mondaines pour des monologues remplis de sagesse et d’honnêteté.

Paul Vaussane nous rapproche de l’union entre ce qui est connu et ce qu’il nous reste encore à découvrir : la nature et le processus inévitable du progrès des hommes. Ses “labyrinthes”, communautés fabriquées par une main humaine, provoquent des conversations avec ce qui sera. S’y perdre est impossible, laissant ainsi, libre, le flux des émotions.

[/vc_column_text][/vc_tta_section][vc_tta_section title=”Bertand Naivin” tab_id=”1489952414643-31e4bb42-f041″][vc_column_text]

“D’en haut”, le réalité est différente. Ce qui était connu se diffuse, tandis que l’étrange et l’étranger respirent des airs de plus en plus transparents. Des champs cultivés se fondent avec la naissance des hauteurs, tandis des corps aquatiques soulignent de leurs éclats les contours d’une vérité distante. Leurs individualités, généreusement engagées, troquent leurs paroles mondaines pour des monologues remplis de sagesse et d’honnêteté.

Paul Vaussane nous rapproche de l’union entre ce qui est connu et ce qu’il nous reste encore à découvrir : la nature et le processus inévitable du progrès des hommes. Ses “labyrinthes”, communautés fabriquées par une main humaine, provoquent des conversations avec ce qui sera. S’y perdre est impossible, laissant ainsi, libre, le flux des émotions.

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